Bonsoir Madeline,
Nous sommes à Maastricht, aux Pays bas. À Lyon, aussi. Et à Paris, surtout. A Beyrouth même.
Il est certain que la tragédie monte lorsque l’épique s’affaiblit.
Il est clair aussi que le vers élégiaque est une amputation de la métrique de l’épopée.
Voir la tragédie, est donc avant tout une anticipation de la chute de l’héroïsme. Mais c’est aussi une anticipation retardée.
Pourquoi donc s’intéresser à une tragédie aujourd’hui ? C’est pour...